LA LIGUE CHRÉTIENNE.

La vérité coûte très cher, c'est pourquoi les journaux ne vous la vendront jamais.

- MASSACRE DE CHRÉTIENS EN ÉGYPTE -
LA LIGUE CHRÉTIENNE EST EN DEUIL

Feuilleton Audio Alphonse Allais, L'Affaire Blaireau (Version Intégrale): Éditions de l'À Venir

Version compléte, mise à jour le 17 septembre 2012.

LA LIGUE CHRÉTIENNE, LA GUILDE DES MÉTIERS,

reviennent! Mise à jour septembre 2012.

http://laliguechretienne.wordpress.com. Le reste suivra.

vendredi 16 septembre 2011

RU 37/2011

Septembre 2011









          DÉPÊCHE HEBDOMADAIRE DE NOUVELLES CHRÉTIENNES
 Gratuit par courriel.  Sans copyright (mais mentionnez « ru » s.v.p.).
« RU », le service de presse du réseau UNEC, BP 70114, F-95210 St-Gratien
Tél./Fax/rép.  01 34 12 02 68 – unec@wanadoo.fr –
www.radio-silence.tv (section RU, avec archive)

LIECHTENSTEIN (ru, 19 sept. 2011). – Comme annoncé ici (RU 32/2011 du 16 août 2011), un référendum a eu lieu le dimanche 18 septembre dans ce minuscule pays – 34.000 habitants dont 18.800 électeurs – pour l’introduction de l’avortement pendant les premières 12 semaines de la grossesse. 52,3 % des voix se sont exprimés contre l’introduction de l’avortement. Cette initiative pour le meurtre légal qui s’appelait vicieusement et subliminalement « Aider au lieu de punir » a récolté quand-même 47,7 % des voix, ce qui est énorme pour cet état à 76% catholique. Le prince Alois de Liechtenstein avait clairement fait entendre qu’il ne signerait jamais une telle loi, en déclarant que « l’avortement n’est pas une solution acceptable pour le problème des grossesses non-désirées ». Il veut maintenant sans tarder entamer des discussions avec le gouvernement et le parlement pour mettre en œuvre une réforme profonde qui puisse proposer des aides massives aux femmes enceintes en difficulté, tout en rendant l’environnement du Liechtenstein plus favorable aux enfants. On connaît les initiatives similaires menées déjà depuis plusieurs années par son épouse, la princesse royale Sophie de Bavière, héritière et première prétendante du trône des Stuarts et des Jacobites. Du côté des pro-avortement, on envisage maintenant un nouveau projet de loi disant que l’avortement restera bien interdit et pénalisé (1 an de prison) au Liechtenstein, mais pas quand ses citoyens se le procurent à l’étranger.

La position des autorités de l’Eglise par rapport à ce référendum fut exemplaire : « Non à l’avortement ! », avec une référence claire au Concile Vatican II qui l’avait décrié comme « un crime abominable » (Gaudium et Spes, chap. 51). Par contre cette référence au Concile Vatican II est également utilisée par les adversaires de l’Eglise pour promouvoir dès maintenant la séparation de l’Eglise et de l’Etat au Liechtenstein où la religion catholique est aujourd’hui religion d’état, soit-dit « pour accorder en Liechtenstein à toutes les communautés religieuses les mêmes droits et obligations ». Le Prince aura beau s’y opposer, l’évêque du lieu et le Vatican sont pour cette séparation, en prônant en même temps la conclusion d’un Concordat entre l’Etat et l’Eglise. C’est ainsi que les autorités ecclésiastiques promeuvent eux-mêmes leur sabordage, et en même temps celle du Christ-Roi, maître de l’univers y compris des nations. Combien d’états – notamment en Amérique Latine – ont après cette séparation de l’Eglise et de l’Etat introduit successivement le divorce, l’avortement, l’homosexualité et bientôt l’euthanasie ? Combien sonne faux, après ce sabordage, le discours pro-vie des évêques !

Au Liechtenstein le Prince, nolens volens, sera bien obligé de s’aligner à ce que souhaite l’évêque, probablement pour la dernière fois, car une fois mise à l’écart l’Eglise n’y aura plus rien à dire, sauf dispenser quelques aimables conseils et gérer les crèches. La séparation de l’Eglise et de l’Etat, disons le clairement, est une manière dissimulée d’abandonner les bébés à une société assassine, car dans un système où le Catholicisme est la religion d’état l’avortement serait impossible. Jusqu’à présent les bébés étaient protégés au Liechtenstein par le Prince et l’Eglise. Désormais le Prince sera leur seul protecteur, l’Eglise préférant se retirer vers quelques bureaux psychologiques moralisateurs. Une Église qui abandonne ainsi son autorité que Dieu lui a conférée sur les peuples pour le bien de l’humanité, devient par ce choix pernicieux la cause des plus grands maux, le fossoyeur des plus petits (avortement), de la famille (divorce), des nations (victoire démocratique de l’Islam par le jeu des « majorités »)  et de l’individu (promiscuité, Sida, euthanasie).

Pour conclure rappelons les paroles autrement courageuses que Mère Thérésa de Calcutta avait prononcées devant le monde le 10 décembre 1979, quand elle reçut le prix Nobel : « J’ai une conviction que je voudrais vous communiquer. Le plus grand destructeur de la paix est aujourd’hui le cri de l’enfant innocent pas encore né. Si une maman peut assassiner son propre enfant en son sein, quel pire cime peut-il y avoir encore sauf que nous nous mettions à nous entretuer mutuellement ?… Pour moi les nations qui ont légalisé l’avortement sont les pays les plus pauvres. Ils ont peur des Petits, ils craignent l’enfant pas encore né. Et l’enfant doit mourir, puisqu’ils ne veulent plus avoir cet enfant – pas un enfant de plus ! – et l’enfant meurt assassiné. Je vous supplie au nom des enfants : sauvez l’enfant pas encore né, reconnaissez la présence de Jésus en lui ! … » Et de conclure: « Dieu, donne nous le courage de protéger chaque enfant pas encore né. Car l’enfant est le plus grand cadeau de Dieu pour la famille, un peuple et le monde ».

-  O.A.M.D.G.  -
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RU sur radio-silence Radio Catholique du WEB " fichier texte "
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 Fichiers Sonores depuis Janvier 2011

mardi 13 septembre 2011

Liberius.net un librairie virtuelle de reference ...

Mardi 13 Septembre 2011.

Il y a quelques temps je cherchai un livre introuvable et la providence m'a permit de trouver ce livre en format PDF sur le site liberius.net.
Savez vous qu'il y a là plus de 1 000 ouvrages sur le monde chrétien en plusieurs langues, donc si vous cherchez des sources.
Voici un site à chérir.
L'animateur est en plus une personne vraiment sympathique.
S.  CARVAJAL


Bibliothèque Saint Libère
Livres, articles et documents catholiques


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lundi 12 septembre 2011

Defrendre celui qui ne peut se défendre. Defendons le CHRIST.

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LA LIGUE CHRÉTIENNE, 
ce blog chrétien, 
relaye l'Information suivante issue de 
l'Institut Civitas 
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Si nous ne défendons pas les plus faibles et si nous ne défendons pas ceux qui ne peuvent se défendre, à quoi donc servons nous ?
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La Liberté est elle le dernier argument pour tout se permettre, rappelons nous ce slogan Fasciste ; Il est interdit, d'interdire ?
Les Chrétiens, savent une chose; toutes les questions ne sont pas pertinentes.
Un spectacle à pour but la réjouissance du public, mai n'a pas pour but principal d'assurer le fortune de l'auteur, qui est nourri de subventions d'état et ne survit que par la pression de scandale qu'il suscite et donc profite de subventions offertes par des ministres anti chrétiens.

Pour le Ligue Chrétienne.
S. CARVAJAL
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Signatures : 26035 depuis le 05 septembre 2011
M A N I F E S T E

Monsieur le Directeur,
J'apprends que votre théâtre se prépare à accueillir un spectacle (Golgota picnic ou Sur le concept du visage de Dieu) dont le contenu antichrétien ne fait aucun doute et suscite ma plus profonde indignation. Le concept de liberté artistique ne peut servir à tout permettre. D'ailleurs, il est évident que si ce spectacle était judéophobe ou islamophobe, il ne trouverait pas place dans votre programmation. Les chrétiens sont-ils devenus en France des citoyens de seconde zone ?
Comme beaucoup d'autres chrétiens, je ne puis rester sans réaction et laisser le Christ être sur votre scène insulté, humilié. Je vous demande donc avec insistance de déprogrammer au plus vite ce spectacle de votre théâtre.
Nom et prénom du signataire
Faites pression en signant la pétition mais également par téléphone et par écrit :
- la direction du Théâtre de la Ville ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 2 place du Châtelet, Paris 4
slucas@theatredelaville.com - 01.48.87.54.42
- la direction du Théâtre Le Centquatre ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 104 rue d'Aubervilliers, Paris 19
billetterie@104.fr - contact@104.fr - 01.53.35.50.00
- la direction du Théâtre de Garonne ("Golgota picnic"), 1 avenue du Château d'eau, 31300 Toulouse
billetterie@theatregaronne.com - 05.62.48.54.77
- la direction du Théâtre La Rose des Vents ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), bd Van Gogh, BP 10153, 59653 Villeneuve d'Ascq
contact@larose.fr - larosedesvents2@wanadoo.fr - 03.20.61.96.96
- la direction du Théâtre du Rond Point ("Golgota picnic"), 2 bis avenue Franklin D. Roosevelt - Paris 8
contact@theatredurondpoint.fr - 01.44.95.98.21
Il est possible que l'envoi à ces e-mails de votre mécontentement vous retourne un message d'erreur : cela ne signifie en aucun cas que ces adresses soient erronées, mais tout simplement que leurs boites email explosent devant la masse de messages de mécontentement qui leurs parviennent !
Cela prouve que notre mobilisation est efficace et que cela gêne le travail de ces blasphémateurs.
C'est un encouragement à leur écrire massivement par mail, par courrier et à leur téléphoner afin qu'ils déprogramment leurs "spectacles".
Signez la pétition et prévenez tous vos contacts


Contact, Signez le pétition.

Institut  Civitas 17, rue des Chasseurs  -  95100 Argenteuil 01.34.11.16.94 -  secretariat@civitas-institut.com www.civitas-institut.com




Ecoutez Alain Escada, secrétaire général de Civitas, 
sur Radio Courtoisie :
 





Deux spectacles blasphématoires programmés en France à la rentrée susciteront l'indignation de tout chrétien digne de ce nom.
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- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à l'affiche du Théâtre de Garonne à Toulouse du 16 au 20 novembre puis au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre prochains. Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche "absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".
Si, dans le dossier de presse de ce "Golgota picnic", Rodrigo Garcia explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c'est nu que le chef d'orchestre italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".
Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)".
- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d'Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre.
La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").
L'Institut Civitas s'engage à consacrer toute son énergie à mener une vaste campagne visant à obtenir la déprogrammation de ces blasphèmes. C'est du Christ qu'il s'agit. Celui qui est Notre Père. Qui laisserait sans réagir son père se faire insulter, humilier ? Cela nous est insupportable. Joignez-vous à notre mobilisation.


Alain Escada,
secrétaire général de l'Institut Civitas
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Visualisez ici le programme de ces blasphèmes

Ne pas répondre à la provocation systématique orchestrée et financée avec nos impôts c'est abandonner une partie de nos Libertés.