LA LIGUE CHRÉTIENNE.

La vérité coûte très cher, c'est pourquoi les journaux ne vous la vendront jamais.

- MASSACRE DE CHRÉTIENS EN ÉGYPTE -
LA LIGUE CHRÉTIENNE EST EN DEUIL

Feuilleton Audio Alphonse Allais, L'Affaire Blaireau (Version Intégrale): Éditions de l'À Venir

Version compléte, mise à jour le 17 septembre 2012.

LA LIGUE CHRÉTIENNE, LA GUILDE DES MÉTIERS,

reviennent! Mise à jour septembre 2012.

http://laliguechretienne.wordpress.com. Le reste suivra.

lundi 12 septembre 2011

Defrendre celui qui ne peut se défendre. Defendons le CHRIST.

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LA LIGUE CHRÉTIENNE, 
ce blog chrétien, 
relaye l'Information suivante issue de 
l'Institut Civitas 
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Si nous ne défendons pas les plus faibles et si nous ne défendons pas ceux qui ne peuvent se défendre, à quoi donc servons nous ?
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La Liberté est elle le dernier argument pour tout se permettre, rappelons nous ce slogan Fasciste ; Il est interdit, d'interdire ?
Les Chrétiens, savent une chose; toutes les questions ne sont pas pertinentes.
Un spectacle à pour but la réjouissance du public, mai n'a pas pour but principal d'assurer le fortune de l'auteur, qui est nourri de subventions d'état et ne survit que par la pression de scandale qu'il suscite et donc profite de subventions offertes par des ministres anti chrétiens.

Pour le Ligue Chrétienne.
S. CARVAJAL
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Signatures : 26035 depuis le 05 septembre 2011
M A N I F E S T E

Monsieur le Directeur,
J'apprends que votre théâtre se prépare à accueillir un spectacle (Golgota picnic ou Sur le concept du visage de Dieu) dont le contenu antichrétien ne fait aucun doute et suscite ma plus profonde indignation. Le concept de liberté artistique ne peut servir à tout permettre. D'ailleurs, il est évident que si ce spectacle était judéophobe ou islamophobe, il ne trouverait pas place dans votre programmation. Les chrétiens sont-ils devenus en France des citoyens de seconde zone ?
Comme beaucoup d'autres chrétiens, je ne puis rester sans réaction et laisser le Christ être sur votre scène insulté, humilié. Je vous demande donc avec insistance de déprogrammer au plus vite ce spectacle de votre théâtre.
Nom et prénom du signataire
Faites pression en signant la pétition mais également par téléphone et par écrit :
- la direction du Théâtre de la Ville ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 2 place du Châtelet, Paris 4
slucas@theatredelaville.com - 01.48.87.54.42
- la direction du Théâtre Le Centquatre ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), 104 rue d'Aubervilliers, Paris 19
billetterie@104.fr - contact@104.fr - 01.53.35.50.00
- la direction du Théâtre de Garonne ("Golgota picnic"), 1 avenue du Château d'eau, 31300 Toulouse
billetterie@theatregaronne.com - 05.62.48.54.77
- la direction du Théâtre La Rose des Vents ("Sur le concept du visage du fils de Dieu"), bd Van Gogh, BP 10153, 59653 Villeneuve d'Ascq
contact@larose.fr - larosedesvents2@wanadoo.fr - 03.20.61.96.96
- la direction du Théâtre du Rond Point ("Golgota picnic"), 2 bis avenue Franklin D. Roosevelt - Paris 8
contact@theatredurondpoint.fr - 01.44.95.98.21
Il est possible que l'envoi à ces e-mails de votre mécontentement vous retourne un message d'erreur : cela ne signifie en aucun cas que ces adresses soient erronées, mais tout simplement que leurs boites email explosent devant la masse de messages de mécontentement qui leurs parviennent !
Cela prouve que notre mobilisation est efficace et que cela gêne le travail de ces blasphémateurs.
C'est un encouragement à leur écrire massivement par mail, par courrier et à leur téléphoner afin qu'ils déprogramment leurs "spectacles".
Signez la pétition et prévenez tous vos contacts


Contact, Signez le pétition.

Institut  Civitas 17, rue des Chasseurs  -  95100 Argenteuil 01.34.11.16.94 -  secretariat@civitas-institut.com www.civitas-institut.com




Ecoutez Alain Escada, secrétaire général de Civitas, 
sur Radio Courtoisie :
 





Deux spectacles blasphématoires programmés en France à la rentrée susciteront l'indignation de tout chrétien digne de ce nom.
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- Le premier, intitulé "Golgota picnic", est prévu à l'affiche du Théâtre de Garonne à Toulouse du 16 au 20 novembre puis au Théâtre du Rond-Point à Paris du 8 au 17 décembre prochains. Le metteur en scène Rodrigo Garcia prétend revisiter ici les Saintes Ecritures et parle d'approche "absolument impudique" destinée à présenter l'iconographie chrétienne comme l'image de "la terreur et de la barbarie".
Si, dans le dossier de presse de ce "Golgota picnic", Rodrigo Garcia explique avoir construit son propre imaginaire biblique, celui-ci se traduit par un langage et des images obscènes. Le Christ est appelé ici "el puto diablo" et est comparé à un terroriste. Sa plaie ultime de crucifié est remplie de billets de banque. Des hamburgers jonchent le sol de la scène de spectacle pour parodier de façon grotesque la multiplication des pains. Et c'est nu que le chef d'orchestre italien Marino Formenti interprète au piano l'air des "Sept dernières paroles du Christ en Croix" de Haydn. Mais Marino Formenti n'y voit pas malice puisque "les acteurs (...) sont nus très souvent aussi".
Joué précédemment en Espagne, ce spectacle blasphématoire y avait provoqué un véritable tollé, suscitant une question au Parlement, puis des manifestations devant le théâtre. A quoi le metteur en scène Rodrigo Garcia se contente de répondre : "Mes pièces sont toujours mal reçues. Une bonne partie du public est bête (...)".
- Le second spectacle blasphématoire est un opéra-théâtre intitulé "Sur le concept du visage du fils de Dieu". Cette "œuvre" de Romeo Castellucci sera en tournée européenne jusqu'en février 2012, notamment à Paris, au Théâtre de la Ville, du 20 au 30 octobre, et au Centquatre, du 2 au 4 novembre, à Rennes, du 10 au 12 novembre, et à Villeneuve-d'Ascq, au Théâtre La Rose des Vents les 29 et 30 novembre.
La succession de tableaux montre tour à tour un vieillard nu se torchant les fesses, des enfants caillassant le visage du Christ (avec des grenades factices pour faire plus vrai) puis le visage innocent de NSJC est attaqué de l'intérieur. Il est d'abord trituré, déformé comme par des mains et des pieds qui pousseraient la fine peau de surface. Ensuite on dirait qu'un grand couteau l'entaille, et de grandes coulures d'un brun-rouge évoquant plus les matières fécales de la scène précédente que le sang, se répandent sur lui, avant qu'un voile noir ne recouvre le portrait du fils de Dieu pour faire apparaître le mot de la fin : "You are not my shepherd" ("Tu n'es pas mon berger").
L'Institut Civitas s'engage à consacrer toute son énergie à mener une vaste campagne visant à obtenir la déprogrammation de ces blasphèmes. C'est du Christ qu'il s'agit. Celui qui est Notre Père. Qui laisserait sans réagir son père se faire insulter, humilier ? Cela nous est insupportable. Joignez-vous à notre mobilisation.


Alain Escada,
secrétaire général de l'Institut Civitas
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Visualisez ici le programme de ces blasphèmes

Ne pas répondre à la provocation systématique orchestrée et financée avec nos impôts c'est abandonner une partie de nos Libertés.

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