LA LIGUE CHRÉTIENNE.

La vérité coûte très cher, c'est pourquoi les journaux ne vous la vendront jamais.

- MASSACRE DE CHRÉTIENS EN ÉGYPTE -
LA LIGUE CHRÉTIENNE EST EN DEUIL

Feuilleton Audio Alphonse Allais, L'Affaire Blaireau (Version Intégrale): Éditions de l'À Venir

Version compléte, mise à jour le 17 septembre 2012.

LA LIGUE CHRÉTIENNE, LA GUILDE DES MÉTIERS,

reviennent! Mise à jour septembre 2012.

http://laliguechretienne.wordpress.com. Le reste suivra.

vendredi 11 février 2011

Crise, re crises et re re crises.

Vendredi 11 Février 2011.

Crise ou volonté de refuser les progrès techniques? 
Pourquoi voudrait-on empêcher l'avènement d'un plus grand bien être aux effets mieux repartis ?

Depuis 1973 nous subissons des crises, nous les subissons avec patience et abnégation.
Chaque premier ministre est venu dire à la télévision cette phrase : Notre principal souci : c'est le chômage !
Tous, absolument tous, ont dit cette phrase.

Avec quels effets ?
NULS.
Si tant est qu'une absence d'effets puisse être mise au pluriel ;o)

Il est bien connu qu'un problème ne résiste jamais à une absence de solution, phrase mise en application avec constance et rigueur par un fameux énarque devenu premier ministre et président.

Ainsi donc si on éjecte le côté politique de l'affaire des crises à répétition, il n'en reste pas moins deux problèmes: la volonté de méconnaître la crise et la volonté de ne pas rechercher des solutions aux crises. Rappelons qu'une bonne crise cela rapporte gros, surtout si vous êtes du bon côté.

Donc volonté de méconnaître la crise, ses tenants, ses effets et ses possibles solutions. Pourtant ne serait ce pas le boulot normal d'un ministre ?
Non?

Si je me trompe citez moi un seul exemple de mon erreur durant ces trente dernières années.

Enfin, comme vous l'imaginez la solution vue d'ici, le blog chrétien pour le retour au plein emploi, serait .... le retour au plein emploi.
C'était la solution qui fût éliminée d'emblée, trop simple.
C'était la solution qui empêchait de concentrer les ressources financières, pas bien.
Donc c'était ce qu'il ne fallait surtout pas faire.

Aujourd'hui la crise et ses soeurs nous dévoilent l'ampleur du désastre, cela ne frappe pas encore les esprits, mais déjà ceux qui souffrent le moins disent : Révolution.
Aujourd'hui en France il y a  entre huit et douze millions de Français qui vivent en dessous du seuil de pauvreté.
Douze millions sur soixante millions cela fait un cinquième des Français exclus des bienfaits de la république.
En voila une crise !
Elle est belle notre crise, elle est belle !


Il reste encore une possible solution qui donnera des résultats tangibles à court, moyen et long terme cela se décompose en trois volets:
- Assurer les Droits des Citoyens et des Individus: droit à la Vie, à la sécurité des gens et de leurs biens, a la vraie propriété celle qui ne paie pas de taxe et serait insaisissable, enfin protection de l'entrepreneur et des actionnaires salariés....

- Mettre en place une politique d'accompagnement à la mutation, à l'évolution technologique, c'est à dire poser les bases d'un plan de re industrialisation de la France et de la protection vis à vis des pays producteurs qui ne subissent pas les mêmes charges que nous, barrières douanières .

- Mettre à la diète l'état, faire disparaître l'impôt sur le travail, réduire les taxes sur les combustibles, bloquer les marges sur le produits alimentaires, donner une aide aux agriculteurs qui s'installent, avoir une politique de construction de logement privatif...

Disons de suite la première partie fait appel à un domaine de connaissance qui n'est pas le mien, mais je crois que nous avons tous vu nos libertés réduites, à rien, grâce à l'action des lois intempestivement votées.
La seconde partie fait appel à l'innovation, c'est à dire concerne surtout le domaine industriel, on connaît ou pas, je pense avoir une bonne idée de ces domaines et de moyens à mettre en oeuvre.
Enfin le troisième et dernier volet est d'ordre économique donc à la portée de chacun.

Quand il s'agit d'économie personnelle ou publique c'est comme dans une automobile lorsqu'il est question d'accélérer, il est nécessaire de comprendre le chemin à parcourir, donc de se renseigner et étudier où et comment accélérer, il faut ôter les freins, choisir une vitesse a engager, enfin choisir et doser son impulsion .

Les  bons  moyens, en dose suffisantes au bon moment et au bon endroit.
Raisonnement basique mais  logique  et  vrai.

S. CARVAJAL
Management Stratégique et Innovations.

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